2.9.06

190-J'aimais parcourir le tendre chemin qui menait à vos courbes.


Barlin, Pas de Calais, France. © Dam F 2006














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13 Comments:

Anonymous Anonyme said...

comme je vous comprends ! çà motive !

1:10 PM  
Blogger Caroline Pariente said...

Salut Dam, je vois que tu as continué à bien "travailler". J'aime beaucoup l'atmosphère des barques vertes. Quant à celle-ci , un clin d'oeil sympathique .
Mais le chemin s'éloigne du corps...

1:14 PM  
Blogger Jean said...

Belle image liant les activités traditionnelles de la culture du blé et celles de l'industrie .Deux facettes d l'homme .
La ligne des traces de roue dans les chaumes et celle des terrils , la légende ...vers vos courbes ...." tout est cohérent , significatif .

1:35 PM  
Anonymous Anonyme said...

Le Pas de Calais a ses tombeaux pyramidaux aussi...

3:02 PM  
Anonymous Anonyme said...

Bonjour Dam,
Hasard des rencontres blogophiles, des images au nord qui me vont droit au coeur des souvenirs, et cette image de la Treille, sais-tu qu'il y a quelques années, j'ai fondé avec Virgule "Les Mardis de la Treille", rencontres poétiques, qui continuent de vibrer chaque premier mardi du mois, si tu as l'occasion, ne manque pas de pousser la porte, c'est juste en face de la cathédrale, bar "Au Parvis de la Treille"

5:50 PM  
Blogger Dam said...

véronique : ça ne monte pas haut mais ça attire le regard

line : c'est un stratagème pour créer la surprise !

jean : content de vous revoir et de croiser votre regard toujours aussi poétique

protolapon : d'ailleurs on a retrouvé quelques traces de Toutenkamon

lyriann : plus discrets certes !

L'oeil vagabond : merci pour l'adresse et pour votr evenue en ces lieux ! à bientôt alors .

8:20 AM  
Anonymous Anonyme said...

Pour un peu je croyais que c'étaient les pyramides d'Egypte !

9:06 AM  
Anonymous Anonyme said...

Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers; piquoté par les blés, fouler l'herbe menue.
Rêveur j'en sentirai, la fraîcheur à mes pieds; je laisserai le vent, baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien; et l'amour infini, me montera dans l'âme; et j'irai loin bien loin, comme un bohémien; par la nature heureux, comme avec une femme.
Voilà le texte que ta photo m'inspire.
Petit jeu du 1er lundi du mois : poésie de ???

1:35 PM  
Blogger Dam said...

agathe : Rimbaud.Bien vu ! ça colle pile poil avec la photo ! va falloir que je vous consulte !

8:49 PM  
Anonymous Anonyme said...

ces courbes que l'on ne rencontre nulle part ailleurs... je les trouvais si laides jadis... le temps passant et la nostalgie de celle que je voyais de ma fenêtre d'enfance, toute garnie de bouleaux... enneigée l'hiver, la seule montagne que j'ai eu à contempler pendant des années... garnie d'un chevalet! font qu'à présent je les aime...

11:55 AM  
Blogger Dam said...

camille : il en va de même pour moi. Ces terrils devraient être prochainement classés au patrimoine de L'unesco. Si vous avez une carte situant ces courbes je suis preneur !

7:56 PM  
Anonymous Anonyme said...

Bravo, effectivement on ne peut pas mieux coller... à moins que ce soit le poème qui vous ai inspiré la photo...

9:03 PM  
Anonymous Anonyme said...

pas de carte de ces courbes, mais j'aimerais bien en trouver une moi aussi! ça doit bien exister! peut-être au musée de la mine de Lewarde est-il possible d'avoir une info à ce sujet...

11:42 PM  

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